Échappée belle à l’autre bout du globe, la Guadeloupe séduit tous ceux qui rêvent d’un mélange unique d’exotisme, d’authenticité et d’expériences multiples. Au cœur de l’arc des Petites Antilles, cette « île papillon » offre des contrastes saisissants entre forêts tropicales, volcans majestueux, plages de rêve et villages traditionnels. Séjourner ici, c’est à la fois plonger dans le lagon aux eaux cristallines, partir à la conquête de la Soufrière, s’initier à la dégustation du rhum, allier détente balnéaire et découvertes culturelles. Les acteurs du tourisme rivalisent d’ingéniosité, à l’image de Club Med, TUI, Karibea Hotels ou Hôtel La Toubana, pour répondre à toutes les envies. Voyager en Guadeloupe, c’est aussi soutenir une économie locale attachée à ses racines créoles, tout en bénéficiant du savoir-faire de voyagistes historiques comme Air France, Nouvelles Frontières ou encore Martinique Tourisme. Voici pourquoi choisir les Îles de Guadeloupe, c’est bien plus qu’un séjour : c’est une immersion dans un paradis tropical où la nature et la culture vibrent au diapason.
Explorer Basse-Terre : capitale créole entre histoire et nature
Choisir Basse-Terre comme point de départ pour des vacances en Guadeloupe, c’est privilégier l’authenticité et la diversité. Contrairement à nombre de destinations purement balnéaires, Basse-Terre incarne un art de vivre où traditions créoles et modernité coexistent harmonieusement. L’architecture coloniale révèle un passé fascinant ; le Fort Delgrès, par exemple, surplombe la ville en un point stratégique offrant une vue dégagée sur la mer des Caraïbes. Cette visite gratuite permet de toucher du doigt l’histoire tourmentée de l’île et de comprendre comment la Guadeloupe est devenue un véritable carrefour de cultures.
Le marché central anime la ville chaque matin. Les étals débordent de fruits tropicaux, d’épices et d’artisanat local. Les interactions y sont bien plus authentiques que dans les supermarchés ou les galeries marchandes des zones balnéaires. Le Champ d’Arbaud propose un contraste saisissant avec ses espaces verts au cœur de la cité, idéal pour une promenade en famille ou en couple.
S’éloigner des classiques sentiers touristiques impose d’ailleurs sa logique argumentée : refuser l’uniformité, privilégier la rencontre et la découverte. En vous baladant au jardin botanique de Basse-Terre — le plus ancien de Guadeloupe — vous explorez un patrimoine végétal d’une richesse exhaustive : orchidées rares, fougères géantes ou arbres centenaires y jalonnent le parcours. Cette immersion permet de mieux comprendre pourquoi le respect de l’environnement est ici une conviction partagée.
- Le Fort Delgrès, incontournable pour l’histoire
- Le marché central, fenêtre sur la vie locale
- Le jardin botanique, éloge à la biodiversité
- La cathédrale Notre-Dame-de-Guadeloupe, témoin architectural singulier
- Le Champ d’Arbaud, havre de paix en plein centre urbain
| Activité | Type d’expérience | Public cible |
|---|---|---|
| Visite du Fort Delgrès | Historique et culturelle | Tous, passionnés d’histoire |
| Marché de Basse-Terre | Gastronomique et artisanal | Familles, gourmets |
| Jardin botanique | Nature et détente | Aventuriers, botanistes |
Si l’offre hôtelière s’y diversifie, certains développements — pensons à Karibea Hotels ou à des établissements plus intimistes — misent sur une logique de tourisme responsable, axé sur l’intégration environnementale et la valorisation du patrimoine local. Refuser une Guadeloupe de carte postale, c’est accepter la richesse de ses nuances et s’offrir des vacances porteuses de sens.
Basse-Terre : le choix de l’authenticité
À l’heure des destinations standardisées, Basse-Terre demeure un bastion d’authenticité. Le contraste entre ses monuments historiques et sa forêt luxuriante rappelle que le charme de la Guadeloupe ne se limite pas à ses plages. Pour qui refuse la superficialité des séjours trop balisés, choisir Basse-Terre, c’est revendiquer sa liberté de voyager différemment. Dirigeons-nous maintenant vers une ville complémentaire, à la jonction du moderne et de l’histoire : Pointe-à-Pitre.
Pointe-à-Pitre et les saveurs de la modernité caribéenne
Pointe-à-Pitre occupe une position centrale et dynamique dans l’imaginaire guadeloupéen. Située à la croisée de Basse-Terre et de Grande-Terre, la ville se distingue par sa capacité à conjuguer animation urbaine, héritage colonial et vie nocturne effervescente. Flâner dans ses rues permet de croiser des maisons créoles en bois, des demeures coloniales et un kaléidoscope d’échoppes colorées.
Les marchés, notamment celui de la Darse, sont des lieux à forte valeur culturelle. On y découvre non seulement les saveurs du terroir – épices, punchs et fruits exotiques – mais aussi un art de vendre, un sens de l’humour et une générosité qui mettent à mal bien des clichés. Les soirs, la marina s’illumine et devient le centre névralgique de la vie nocturne, avec une offre variée de bars, restaurants raffinés mais aussi discothèques appréciées autant par les locaux que les voyageurs en quête d’expériences mémorables.
- Balade dans les rues créoles
- Dégustation de rhum chez un caviste local
- Dîner sur la Marina
- Visite du Mémorial ACTe
- Ambiance nocturne unique
| Lieu | Spécificité | Expérience recommandée |
|---|---|---|
| Mémorial ACTe | Centre de mémoire sur l’esclavage | Visite guidée culturelle |
| Marina | Bars, restos, clubs | Dîner & sortie soirée |
| Marchés couverts | Produits locaux, artisanat | Dégustation |
L’argument est clair : choisir Pointe-à-Pitre comme base, c’est bénéficier d’une urbanité ensoleillée, d’un accès facilité aux excursions (l’Îles de Guadeloupe, par exemple, se rejoint aisément depuis le port), et découvrir un pan de la culture créole en perpétuelle effervescence. Les voyageurs peuvent compter sur les offres de Club Med, Hotel La Toubana et TUI pour accéder à un niveau de confort inégalé tout en étant au cœur de l’action. C’est aussi ici que les compagnies comme Air France ou Nouvelles Frontières déploient leur expertise logistique.
Pointe-à-Pitre : carrefour du monde créole en 2025
En 2025, Pointe-à-Pitre accentue sa volonté de s’ouvrir sur le monde tout en restant résolument ancrée dans sa culture. En idolâtrant le passé sans tomber dans la nostalgie, en innovant sans perdre l’âme créole, la ville s’impose comme une halte obligatoire pour s’imprégner de l’esprit guadeloupéen. Pour ceux qui rêvent d’océan à perte de vue, la Plage de Grande Anse constitue l’étape suivante logique.
Plages paradisiaques de Guadeloupe : Grande Anse, Sainte-Anne et trésors cachés
La réputation de la Guadeloupe comme destination balnéaire n’est pas usurpée : certaines plages, à l’image de Grande Anse à Deshaies ou Sainte-Anne, rivalisent de beauté avec les rivages les plus célèbres du monde. Leur sable blanc ourlé de palmiers et leur eau turquoise incarnent le summum du rêve tropical. Mais l’argument ne tient pas uniquement à l’esthétique : ces plages répondent à une palette d’envies bien plus large que le simple farniente.
Grande Anse, avec ses kilomètres de sable doré, ses cocotiers et ses restaurants de plage (« lolos » traditionnels), invite aussi bien à la baignade qu’aux excursions en kayak ou en paddle. La période du coucher du soleil, lorsque les collines verdoyantes s’embrasent, donne lieu à des moments d’une intensité rare. Pour les familles, la plage de Sainte-Anne propose un lagon sécurisé, protégé par une barrière de corail : un cadre idéal pour initier petits et grands aux plaisirs des activités nautiques.
Certains sites restent encore préservés du tourisme de masse, à l’image de la plage du Souffleur à Port-Louis ou encore du Pain de Sucre aux Saintes.
- Grande Anse à Deshaies, la plus impressionnante
- Sainte-Anne, parfaite pour les familles et le snorkeling
- Plage du Gosier, vivante et centrale
- Pain de Sucre aux Saintes, perle intimiste
- Souffleur à Port-Louis, adorée des locaux
| Plage | Atout principal | Activité star | Niveau d’affluence |
|---|---|---|---|
| Grande Anse | Sable doré, paysages sauvages | Kayak, coucher du soleil | Modéré à élevé |
| Sainte-Anne | Lagon, corail | Snorkeling, paddle | Familial, élevé |
| Pain de Sucre (Saintes) | Intimité, beauté discrète | Baignade, plongée | Faible |
Les hôtels de standing — notamment l’Hôtel La Toubana, reconnu pour son excellence — ajoutent au prestige de ces plages par des services exclusifs, notamment ateliers yoga, sports nautiques et dégustations de cocktails pieds dans l’eau. Contrairement à d’autres destinations balnéaires, la Guadeloupe sait préserver l’accès public de la plupart de ses plages, refusant la privatisation au profit d’un tourisme inclusif et durable.
Entre rêve tropical et engagement écoresponsable
Voyager en Guadeloupe implique une responsabilité : profiter de plages préservées suppose de soutenir les acteurs engagés dans la préservation du littoral. Les clubs de plongée, Club Med ou TUI, intègrent désormais des initiatives de nettoyage, éducation et protection de la faune marine dans leurs prestations. Après la magie du littoral, virage radical avec l’ascension de la Soufrière, symbole de la Guadeloupe sauvage et volcanique.
La Soufrière et le parc national : immersion volcanique et biodiversité unique
La Guadeloupe compte parmi ses joyaux un site naturel à la fois mystérieux et emblématique : la Soufrière. Ce volcan actif, surnommé « vié madanm la », dompte le regard du visiteur par ses 1467 mètres d’altitude et un panorama à 360° sur les massifs environnants. Loin d’un simple décor, le volcan impose une expérience, une mise à l’épreuve de soi à travers une randonnée exigeante mais accessible à tout marcheur motivé.
L’impact du parc national, qui entoure la Soufrière, ne se limite pas à la randonnée. Il agit comme un acteur de protection environnementale de premier plan : préservation de la biodiversité, programmes pédagogiques, lutte contre l’érosion… La faune et la flore observable lors de la montée (fougères arborescentes, orchidées endémiques, anolis et colibris) composent un tableau vivant à mille lieues de la carte postale balnéaire. Les sources chaudes et fumerolles, ressenties en chemin, rappellent la vigueur du volcanisme local.
- Randonnée à la Soufrière, pour la vue et l’aventure
- Observation de la flore rare et des oiseaux tropicaux
- Baignade dans les bassins d’eau chaude
- Parcours éducatifs sur la geologie
- Programmes de sensibilisation écologique
| Activité | Niveau de difficulté | Durée moyenne | Point d’intérêt |
|---|---|---|---|
| Randonnée Soufrière | Modéré à élevé | 4-5h A/R | Vue panoramique, cratères fumants |
| Balade botanique | Facile | 1-2h | Orchidées, fougères, arbres rares |
| Bassin chaud | Accessible | Libre | Sensation thermale, détente |
L’offre touristique, relayée par des plateformes comme Guadeloupe Tourisme, met l’accent sur l’expérience durable. Les guides locaux accompagnent les voyageurs pour leur fournir explications, conseils de sécurité et clés de lecture des paysages. Rares sont les destinations où l’on peut, en une journée, passer de la plage au sommet d’un volcan encore actif. C’est ici que la Guadeloupe affirme sa singularité.
La Soufrière : symbole de force naturelle et de résilience insulaire
Le choix de gravir la Soufrière, c’est défendre une idée du voyage où l’aventure prend le pas sur la passivité. Cela ressemble à un acte fondateur pour qui cherche à s’approprier la Guadeloupe dans toute sa dimension sauvage. Si « le volcan » fascine, les îles de l’archipel méritent elles aussi une exploration approfondie, à commencer par la Désirade, Marie-Galante et les Saintes.
Îles satellites de la Guadeloupe : Désirade, Marie-Galante et Saintes, entre authenticité et traditions préservées
Hors du tumulte, trois îles satellites tissent la toile d’un autre tourisme. La Désirade, la Marie-Galante et les Saintes diffèrent radicalement du tandem Basse-Terre/Grande-Terre par leur caractère préservé, leur identité encore fermement enracinée dans la tradition. La Désirade, accessible uniquement par bateau, s’étend sur 11 km de côtes où alternent plages sauvages, falaises abruptes et réserves naturelles abritant iguanes et coraux multicolores.
Marie-Galante, quant à elle, partage son nom avec de douces chansons mais s’impose surtout par son agriculture, ses moulins et sa réputation de temple du rhum. L’île s’engage résolument vers un modèle d’autonomie énergétique et de tourisme durable qui devrait inspirer bien d’autres territoires ultramarins. Les Saintes, perle de l’archipel, impressionnent par la beauté de leur baie, classée parmi les plus belles au monde. Terre-de-Haut séduit avec ses maisons colorées, son Fort Napoléon et ses plages confidentielles tandis que Terre-de-Bas cultive l’artisanat et la randonnée.
- Désirade, pour la nature et la tranquillité
- Marie-Galante : ses distilleries et ses champs de canne à sucre
- Saintes (Terre-de-Haut et Terre-de-Bas), authenticité et panoramas exceptionnels
| Île | Atout principal | Expérience phare |
|---|---|---|
| Désirade | Réserve naturelle, falaises | Randonnée, plongée |
| Marie-Galante | Rhum, moulins | Dégustation, visite distillerie |
| Saintes | Baie classée UNESCO | Excursion catamaran, plongée |
L’offre variée de séjours — qu’il s’agisse de packages TUI, Club Med, circuits proposés par Martinique Tourisme, ou séjours sur-mesure via Nouvelles Frontières — laisse la possibilité à chacun de composer son voyage, entre culture, repos et aventure insulaire. Après l’expérience insulaire, le Grand-Cul-de-Sac marin permet de renouer avec la nature vierge de la mangrove.
Argument pour l’authenticité : sortir des sentiers battus
Les îles satellites de la Guadeloupe incarnent une philosophie de voyage alternative : moins de tourisme de masse, plus de rencontres, d’expériences vraies. C’est aussi un choix militant pour la préservation des traditions et de l’environnement, incontournable à l’heure des mutations du tourisme mondial.
Grand-Cul-de-Sac marin et mangroves : la Guadeloupe nature à l’état pur
La réserve du Grand-Cul-de-Sac marin est le sanctuaire écologique par excellence de la Guadeloupe. Classée réserve mondiale de la biosphère par l’UNESCO, elle concentre l’essence de la biodiversité antillaise : près de 15 000 hectares mêlant mangroves, forêts marécageuses, herbiers et récifs coralliens. L’argument écologique ici n’est pas optionnel mais central : chaque visite contribue à la préservation de cet écosystème fragile, que la pression croissante du tourisme pourrait altérer sans vigilance collective.
Observer la faune – sternes, tortues, poissons multicolores – à bord d’un kayak ou d’un bateau à fond transparent atteste du potentiel du slow-tourisme en Guadeloupe. La découverte de la mangrove, véritable « poumon vert » de l’archipel, permet d’appréhender concrètement l’importance des écosystèmes péri-côtiers pour la chaîne alimentaire marine, la protection contre l’érosion et la régulation du climat local.
- Excursion en kayak dans la mangrove
- Observation des oiseaux nicheurs
- Plongée encadrée sur le récif corallien
- Rencontres pédagogiques sur le lamantin
- Sorties en paddle, snorkeling
| Activité | Durée | Bénéfice écologique |
|---|---|---|
| Kayak mangrove | 2h | Découverte de la faune/flore |
| Plongée récif | 3h | Observation corail/tortues |
| Paddle éducatif | 1h30 | Sensibilisation environnement |
Le choix de packages responsables (Club Med, TUI, offres labellisées Guadeloupe Tourisme) permet de soutenir une économie attentive à son avenir écologique. Ici, le tourisme et la nature ne sont plus adversaires mais partenaires, dans un objectif de valorisation durable. Le passage par la Route de la Traversée, ensuite, offre une plongée forestière unique en son genre.
Argument : nature et tourisme réconciliés
Le Grand-Cul-de-Sac Marin incarne cette vision vertueuse d’un tourisme qui tire vers le haut plutôt que vers le bas. Venir ici, ce n’est pas seulement photographier de beaux paysages : c’est s’engager pour leur pérennité. L’approche responsable du voyageur devient ici une nécessité, non un luxe moral.
Route de la Traversée, jardins botaniques et patrimoine naturel : diversité de l’écotourisme guadeloupéen
La Route de la Traversée, également connue sous le nom de route des Mamelles, traverse la forêt tropicale de Basse-Terre. Longue de 17 kilomètres, elle relie Pointe-Noire à Petit-Bourg, dévoilant à chaque virage une nouvelle facette du patrimoine naturel guadeloupéen. C’est un argument puissant en faveur de l’écotourisme : ici, aucune uniformisation, seulement la nature brute, 300 espèces d’arbres, des cascades (dont la fameuse Cascade aux Écrevisses), et des sentiers d’interprétation ouverts à tous les âges.
Le parc zoologique et botanique, la Maison de la Forêt et le Jardin Botanique de Deshaies illustrent la pluralité des expériences offertes : randonnée, observation de la faune, immersion parmi les fleurs exotiques et même aventures pour les plus jeunes au fil d’un parcours pédagogique. Cela prouve qu’une approche familiale ou curieuse du voyage ne s’oppose en rien à la préservation : bien au contraire, elle la renforce par l’éducation et la transmission.
- Balade au Jardin botanique de Deshaies (7 hectares)
- Découverte de la Cascade aux Écrevisses
- Visite de la Maison de la Forêt, centre pédagogique
- Observation ornithologique (perroquets, colibris, aras)
- Randonnées tous niveaux
| Lieu | Spécificité | Visiteurs ciblés |
|---|---|---|
| Jardin Botanique de Deshaies | Flore, faune, espaces thématiques | Couples, familles |
| Cascade aux Écrevisses | Baignade naturelle, sentier balisé | Amateurs de nature |
| Maison de la Forêt | Centre éducatif, ateliers enfants | Familles, scolaires |
Côté hébergement, des hôtels comme Karibea Hotels intègrent désormais des espaces verts, des circuits de découverte botanique et même des potagers en permaculture, offrant le meilleur des deux mondes : confort moderne et conscience écologique. L’ensemble de ces offres reflète la vision partagée par Martinique Tourisme et Voyages Seychelles d’un tourisme vertueux, gage d’avenir pour la Guadeloupe.
Argument : écotourisme comme vecteur d’avenir
La diversification des activités naturelles en Guadeloupe, couplée à une approche pédagogique, répond à une demande de sens et de durabilité dans les voyages. Se ressourcer ici, c’est préparer un tourisme prêt à relever les défis de demain sans sacrifier l’émerveillement du moment présent.
Patrimoine et culture guadeloupéenne : musées, art et gastronomie à savourer
La Guadeloupe ne saurait se réduire à ses trésors naturels. Son identité repose aussi sur un héritage culturel foisonnant : musées, sites précolombiens, traditions culinaires et festive. Le Mémorial ACTe à Pointe-à-Pitre, centre caribéen consacré à la mémoire de l’esclavage et de la traite, figure parmi les équipements culturels les plus percutants d’Europe et des Amériques. Le parc archéologique des Roches Gravées, lui, plonge le visiteur dans l’antiquité amérindienne à travers plus de 230 pétroglyphes datant du IIIème siècle.
La Chapelle Visitation à Port-Louis, les maisons créoles colorées, les distilleries de rhum centenaires : tout exprime la fierté d’une identité créole plurielle, nourrie de métissages et d’histoires croisées.
- Mémorial ACTe, immersion historique
- Parc des Roches Gravées, épopée amérindienne
- Visite de distilleries emblématiques (Bologne, Damoiseau)
- Découverte de la gastronomie locale (accras, bokit, colombo)
- Marché de Basse-Terre, art de vivre créole
| Site/activité | Type | Public |
|---|---|---|
| Mémorial ACTe | Musée, expos interactives | Tous |
| Roches Gravées | Site archéologique | Curieux, familles |
| Distillerie de rhum | Dégustation, visite guidée | Adultes |
| Marchés | Gastronomie, artisanat | Tous |
Les liens avec l’offre touristique sont évidents : des séjours sur-mesure proposés par Club Med, TUI, ou Nouvelles Frontières incluent des circuits « culture et gastronomie », des masterclass de cuisine et des expériences immersives au cœur de la vie locale. Il ne s’agit pas de consommer la Guadeloupe comme un produit, mais de la vivre, de la ressentir. Les débats récurrents sur la gestion du patrimoine et la transmission culturelle illustrent la vitalité des échanges et la volonté de se projeter dans l’avenir sans renier le passé.
Argument : valoriser le patrimoine pour un tourisme intelligent
Prendre le temps d’étudier l’histoire, de goûter les saveurs locales, de discuter avec producteurs ou artistes revient à tisser des liens durables entre visiteurs et habitants. Cette démarche s’avère incontournable si l’on souhaite préserver l’âme guadeloupéenne face à la mondialisation du tourisme.
Sports, loisirs et aventures familiales : la Guadeloupe version active
Si la Guadeloupe séduit par sa douceur de vivre, elle n’en est pas moins un terrain d’aventure idéal. Les familles, couples ou groupes d’amis peuvent s’y adonner à un nombre impressionnant d’activités sportives ou ludiques, des classiques farniente jusqu’aux loisirs extrêmes. Cette diversité s’explique par la morphologie même de l’île : mer, montagne, forêt et lagon se côtoient sur des distances réduites, favorisant les transitions d’un univers à l’autre.
- Plages adaptées aux enfants (Grande Anse, Sainte-Anne, Gosier)
- Clubs nautiques proposant paddle, windsurf, flyboard
- Parcs aquatiques et loisirs en plein air (Mangofil, aquacole)
- Sentiers de randonnée adaptés (Carbet, Mamelles)
- Centres équestres et excursions VTT
| Activité | Adaptée aux enfants | Niveau de sensation |
|---|---|---|
| Plage/baignade | Oui | Relax |
| Kayak/snorkeling | Dès 7 ans | Moyen |
| Parc aventure | Oui | Fort |
| Randonnée familiale | Oui | Moyen |
Enfin, la plongée sous-marine, accessible même aux débutants, constitue l’une des expériences reines, en particulier à la Réserve Cousteau. Encadrés par des moniteurs agréés, petits et grands y découvrent les merveilles d’un monde sous-marin encore largement préservé. Les hébergements familiaux (Karibea Hotels, certains clubs TUI) proposent garderies, activités et excursions spécialement pensées pour les enfants, ce qui complète avantageusement l’offre touristique.
Argument : l’île active, terrain de jeu intergénérationnel
La Guadeloupe démontre qu’il n’existe pas de contradiction entre le repos absolu des plages et la frénésie des activités sportives. C’est justement ce contraste qui en fait une destination si recherchée par les familles et les amateurs de plein air.
Logement en Guadeloupe : entre hôtels de prestige, locations authentiques et éco-responsabilité
L’hébergement joue un rôle crucial dans la réussite de vacances en Guadeloupe. L’offre, qui s’est considérablement diversifiée ces dernières années, met l’accent sur la qualité, l’intégration paysagère et la responsabilité environnementale. Les établissements de renom — Hôtel La Toubana, Clubs Med, Karibea Hotels — côtoient des cases créoles tout confort ou des gîtes nichés au cœur de la forêt, permettant à chaque visiteur de trouver le compromis idéal entre luxe et dépaysement.
- Hôtels de standing avec vue imprenable (Hôtel La Toubana, Club Med)
- Locations de villas ou bungalows pour familles ou groupes
- Gîtes ruraux et chambres d’hôtes, immersion authentique
- Établissements écoresponsables
- Résidences club (TUI, Nouvelles Frontières)
| Type d’hébergement | Atout principal | Public ciblé |
|---|---|---|
| Hôtel La Toubana | Luxe, piscine à débordement | Couples, lune de miel |
| Club Med/TUI | Clubs enfants, animations, ALL-IN | Familles, groupes |
| Karibea Hotels | Rapport qualité/prix, centralité | Couples, affaires |
| Gîte créole | Autonomie, charme local | Voyageurs indépendants |
| Écolodge | Nature, impact réduit | Éco-touristes |
Les compagnies aériennes comme Air France et les tour-opérateurs tels que Nouvelles Frontières proposent des packages multidimensionnels, combinant vol, logement et activités. La recherche d’une meilleure empreinte carbone conduit également à privilégier, quand c’est possible, les hébergements labellisés écoresponsables. Cet engagement répond à une aspiration croissante des voyageurs pour des séjours alignés avec leurs valeurs.
Argument : hébergement responsable, vecteur d’une nouvelle hospitalité
Le choix du logement ne doit plus relever du simple confort mais devenir un acte structurant du voyage. La Guadeloupe, par la variété et la qualité de son offre, fournit le modèle d’un tourisme responsable à imiter bien au-delà des frontières caribéennes.